Lundi 28 juin : aux prises avec les corrections « machine »

C’est avec un certain plaisir que nous nous retrouvons tous ce matin, après avoir passé les deux derniers jours de la semaine passé chez nous, pour des cours en zoom. Cela dit, nous n’avons que peu de chances de perdre le rythme car, dès qu’arrivés, nous nous plongeons studieusement dans un exercice donné pas notre professeure du jour : Emmanuelle Montagnese.

Il s’agit d’un article sur une cheffe de cuisine franco-béninoise, Georgiana Viou… et surtout d’un prétexte pour découvrir le logiciel Prolexis, que peu d’entre nous connaissent. Il sera vraisemblablement d’une grande aide pour « décoquiller » les textes qui nous seront soumis, voire plus… voire moins… Car la machine ne remplace par la main de l’homme (celle du correcteur étant toujours armée de son fameux stylo rouge) , et la confiance (en la machine) n’exclue par le contrôle (de nos cerveaux).

Alléchés par les recettes de Georgiana Viou, nous prenons une pause déjeuner bien méritée, avant de revenir à nos moutons prolexiens. Emmanuelle nous donne un nouvel exercice à faire pour nous entraîner sur ce logiciel, dont nous avons découvert, émerveillés pour certains (dont votre servante), les capacités de correction grammaticale.

Pour compléter nos compétences de correction sur écran, nous apprenons avec satisfaction qu’une initiation aux corrections sur Pdf nous sera dispensée par Alice Breuil, mercredi. Sur les conseils d’Emmanuelle, nous jetons aussi un œil au site pdfsimply. Apparemment, il suffit ensuite de télécharger le document à corriger depuis ce site pour voire le pdf transformable avec toute une gamme d’outils. Bon, il faut encore nous familiariser avec ceux-ci, mais au moins un chemin d’accès s’est ouvert à notre curiosité.

Deux autres exercices nous sont proposés dans l’après-midi, toujours issus d’anciennes publications de Jeune Afrique, où travaille Emmanuelle : l’une évoque un attentat perpétré contre le roi du Maroc en 1971, l’autre la difficile mise en place d’un TER à Dakar, au Sénégal. Prolexis devient notre premier réflexe en découvrant un texte et ensuite nous faisons de la relecture sur écran, toujours moins confortable que sur papier, mais c’est une configuration qui peut nous arriver.

CG & SF