Lorsqu’il est trop tard pour corriger…

… eh bien, l’on corrige encore mais d’une façon peu satisfaisante… et très visible…

Ici, deux exemples repérés ce week-end dans les salles du Louvre.

– une fois, le mot criminel a été effacé, laissant un vide béant et peu discret dans la phrase
(« rappelle      les nymphes antiques »)

– une autre fois, on a rajouté un trait d’union pour rapprocher ce qui avait été sans doute auparavant coupé par un saut de ligne et non par un système de césure gérée par logiciel…
(« symboli-quement »)

 

La dernière image fut elle, repérée sur Instagram. Il s’agit là d’une impropriété et d’une erreur entre paronymes. C’est dommage, car cela fausse l’importance du sujet abordé.

Bonne semaine à tous

SF

 

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