Mardi 1er juin

Ce premier jour de juin, avec Philippe, nous avons abordé la stylistique et la réécriture, en rappelant un principe fondamental dans notre futur métier : les droits d’auteur sont absolus. Il ne faut corriger que ce qui est obligatoire, et suggérer toute modification, car il peut parfois s’agir d’une volonté de l’auteur, pas forcément d’une négligence.

On note à nouveau à quel point il faut se montrer flexible en se fiant toujours à la charte ou aux usages maison. Le texte peut être plus ou moins littéraire, mais ce n’est pas à nous d’en décider. C’est la responsabilité de l’éditeur de publier ou pas. C’est d’ailleurs par lui qu’il faut passer avant d’interroger l’auteur, pour faire remarquer des pléonasmes, redondances ou autres maladresses.

Quoiqu’il arrive, le sens doit toujours être préservé.

 

La démarche à adopter est d’interroger les mots :

  • Ce mot existe-t-il ?
  • Ce mot est-il bien écrit ?
  • Ce mot est-il bien composé ?
  • Ce mot est-il à la bonne place dans la phrase ?
  • Ce mot est-il juste ou impropre ?
  • Le niveau de langage est-il adapté ?
  • La qualité de langage est-elle respectée ?
  • Qu’est-ce qui justifie de remplacer ce mot ?

Nous avons ensuite fait quelques exercices d’application pour travailler la justesse des mots utilisés, à ne pas confondre avec leurs homonymes, paronymes, voire synonymes.

 

Sophie L. et Astrid L.

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