Deuxième journée de prise en main d’InDesign, avec Cathy Leger.
Nous ne sommes pas égaux face à la technologie : là où certaines et certains galopent de clic en clic et obtiennent des résultats rapides et épatants, d’autres galèrent et s’empêtrent entre souris et clavier, puis paniquent devant les effets inattendus de leurs actions.
Ajoutons à cela quelques problèmes techniques liés à des ordinateurs inexplicablement capricieux, ainsi que l’inquiétude concernant la santé de notre camarade Clément, qui nous quitte à la mi-journée – la menace de la covid plane toujours –, il nous faut décidément rester concentres pour assimiler les notions abordées : jouer avec nos blocs textes, appliquer des retraits et des interlignages, créer des transparences, jongler avec les typographies, installer des tabulations…
Le constat est à peu près partagé : il semble bien difficile de repérer les fautes en travaillant uniquement à l’écran. Pourtant, il y a de grandes chances que ce mode de travail s’impose à nous dans l’exercice de notre future activité. Cathy nous le rappelle en le déplorant : les frontières, autrefois bien délimitées, entre les métiers, ont tendance à se diluer, et avoir des notions de graphisme et de maquettisme est devenu aujourd’hui une nécessité pour les correcteurs.
GC et LC