Vendredi 21 mai

Nous avons abordé ce matin le sujet un peu stressant (il faut bien l’avouer) du rapport de stage. Valérie parle plutôt d’un rapport d’expérience et nous conseille de tenir un journal de bord pendant le stage pour nous faciliter la tâche.

Il ne devrait pas faire plus de quatre pages, et elle nous demande de le lui adresser par mail quelques jours avant la fin du stage, si possible, afin de lui laisser un peu de temps pour le lire tranquillement.

La formation théorique s’achève le 2 juillet. L’examen prendra la forme d’un contrôle continu. Lundi 26 juillet, un jury composé de Valérie et d’un professionnel évaluera chaque stagiaire.

Nous nous sommes ensuite penchés sur deux textes : une étude de « capitales et diverses autres petites choses » qui nous a fait voyager du Pacifique à la mer Rouge en passant par la Nouvelle-Guinée ; et un texte sur la Macédoine, qui cite Albert Londres. « Vous en avez menti ! » se sont écriés les Serbes dans son article. Tournure de phrase qui a plongé dans la perplexité une des stagiaires…

Ha ! Que le temps nous paraît court d’ici à la fin de la formation !
Chaque jour nous apporte son lot de difficultés à résoudre, de plus en plus nombreuses, de plus en plus subtiles, nous laissant parfois « comme une poule qui a trouvé un couteau » !

Car, comment s’y prendre ? Dans quel ouvrage chercher ?
Bien qu’ayant avec moi le Thomas, le petit Grévisse et le lexique des Règles typographiques, faute de savoir par quel bout prendre la chose pour effacer mes doutes, je me rabats sur internet et ses pièges !

En discutant de cet aspect avec d’autres stagiaires à la pause, nous arrivons à la conclusion qu’il aurait été sans doute bien utile d’avoir, en début de formation, un cours de méthodologie, livré en mains propres, pour aborder au mieux chacune de nos recherches. Au minimum, avoir pu acquérir, voire même seulement consulter, au préalable à nos cours, les ouvrages indispensables à la correction. Car chacun à sa logique propre, et le temps nous manque pour les aborder de but en blanc.

Et en même temps, quand je regarde à nouveau l’article de presse, donné par Valérie dans l’après-midi, corrigé par mes soins puis revu avec elle, je me rends compte du chemin déjà parcouru : rien de tel que l’expérience dans ce domaine !

S’il vous plaît, monsieur Pôle Emploi, ne pourrait-on pas avoir un mois de plus pour se former ?!

MS et AS

 

 

 

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