Malgré la fermeture obligatoire des clubs, la discothèque lyonnaise Le Sucre n’a jamais rompu le lien digital avec sa communauté. Plus rare, elle a utilisé ses installations pour héberger des femmes DJ en résidence.
Dans l’Yonne, les parcs éoliens fleurissent dans les champs près des villages, mais ne font pas toujours le bonheur des riverains.
Même au plus fort de la crise sanitaire, Laurence a continué à servir sur un plateau de terroirs du brie à la truffe, du chèvre Mothais ou de la boulette d’Avesne.
Faute de championnat amateur, le FC Mulhouse s’inquiète pour son avenir et ses finances. Quant aux athlètes désœuvrés, ils se trouvent d’autres occupations.
Étudiant en médecine, Charles est payé une misère pour effectuer des tests antigéniques à la chaîne sous une tente à Paris, dans des conditions plus que précaires.
Au Conservatoire Citroën, retrouvons la « deudeuch », la DS et tous les fameux modèles de l’histoire automobile du 20e siècle.
Au cœur de Paris, la Halte humanitaire propose aux migrants un suivi social, médical, administratif, et des ateliers pour tromper l’ennui. Mais le lieu est en sursis.
« L’Expo des 150 » inaugure un tourisme différent, loin des clichés sur Montmartre. Une nouvelle ère s’ouvre sur la butte avant les JO de 2024.
Pour amortir le choc du Covid, Yann Le Houelleur, dessinateur de rue, a rebondi en lançant le journal numérique Franc-Parler.
Vaiju Naravane, directrice du département média de l’université d’Ashoka, près de New Delhi, aide une brillante étudiante indienne à étudier à Paris.
À Paris, l’association ADSF offre aux femmes sans-abri un lit et des soins adaptés pour leur permettre de retrouver un peu de dignité.
Le 2 avril, un décret a interdit la vente de livres sur les marchés. Face à cette situation ubuesque, libraires, syndicats, politiciens et maires récalcitrants s’organisent.
Menacés par les chantiers des JO de 2024, les jardins des Vertus, à Aubervilliers, sont occupés depuis fin mai par un collectif de militants, jardiniers, voisins et amis.